Le FA-MAS et son histoire (de manière très simplifiée)
Ceci est un repost de mon précédent topic sur le FA-MAS datant de l'année dernière. Il se peut donc qu'il y ait des informations qui se contredisent avec mes dernières publications (car je ne repose pas sur mes lauriers, je continue d'apprendre au fil du temps).
Le style d'écriture est aussi plus proche du style "18-25" plutôt que d'un style plus "pro" pour cette raison.
Donc le topic est en rapport avec le FA-MAS, l'une des armes voir même l'arme la plus iconique de l'armée française.
Le FA-MAS, c'est avant tout l'un des premiers bullpups dont la conception a été couronné d'un succès. C'est aussi l'un des premiers bullpups ayant connu une adoption massive au sein d'une armée mais c'est très loin d'être le premier bullpup, en effet ces derniers remontent jusqu'à presque 1901, où les britanniques ont testé de manière sérieuse les carabines Thorneycroft à répétition manuelle. Entre temps, il y a eu d'autres armes bullpup militaire, comme le Korovin 7.62 ou le TKB 408. Mais aucun n'a réussi à être adopté à grande échelle au sein d'une armée régulière.
L'armée française avait besoin d'une nouvelle arme pour remplacer leur MAT49 ainsi que leur MAS49/56. Ils avaient commencé le développement du FA-MAS Type 62, un fusil esthétiquement proche du FAL avec un mécanisme dérivé de ceux des fusils Tokarev.
Malheureusement il est apparu au moment où les doctrines étaient en train de changer. Au moment où les munitions classique de fusil comme la 7.62x51mm étaient en train d'être remplacé par du 5.56x45mm, jugé beaucoup plus efficace contre des cibles humaines mais aussi permettant d'avoir un gain de puissance de feu considérable. Un moment où le lancement des nouveaux chars AMX30 était prioritaire au remplacement des fusils et des mitraillettes qui équipaient les troupes françaises. Finalement, ce modèle 62 ne sera qu'une parenthèse. Il était concrètement peu judicieux de mettre en service cette arme car son apport en comparaison avec les MAS 49/56 était assez moyen. Sans oublier les études sur les munitions de 5.56x45mm basé sur une ogive de calibre .22 semblait avancer à grand pas, et démontrant sa supériorité au fil du temps
Il faut aussi rappeler que la France n'est plus dans l'OTAN depuis 1966 à cette période car de Gaulle était contre le système de commandement unifié. Ça sera important pour comprendre certains points dans l'histoire du FA-MAS (notamment avec les munitions).
Donc dans les années 60 commence le développement d'un nouveau fusil d'infanterie. Les chars AMX30 se portent bien, et il faut renouveler l'équipement français. À l'époque, il faut retenir que les tactiques étaient différentes. En effet, en pleine période de guerre froide où le bloc occidental était en lutte idéologique avec le bloc soviétique, il était nécessaire d'établir des stratégies. La France était en plein territoire continental avec l'URSS. Et ils n'écartaient pas le risque dune invasion soviétique. La tactique de l'époque reposait sur le principe de l'infanterie mécanisée
Infanterie quoi?
L'infanterie mécanisée est l'idée de combattre en utilisant la combinaison entre des véhicules blindés et des chars ainsi que des soldats. Et non, pas de nuke dans l'histoire
L'idée d'une guerre conventionnelle était la plus crédible à cause de la destruction mutuelle assurée. Mais c'est quoi le rapport avec le FA-MAS me diriez-vous?
Le FA-MAS a justement été développé dans cette optique.
Pour répondre à cette demande de défendre notre belle nation qui est la France. Un fusil bullpup permet grâce à son mécanisme situé directement dans la grosse, d'avoir une arme globalement plus courte sans sacrifier la longueur du canon qui reste la même que dans un fusil conventionnel.
Ainsi, les troupes montant dans les véhicules n'auront pas de problème d'encombrement et ne seront pas gêner par leur arme (car les américains eux, se trimbalaient leurs M16 dans leur M113). Sans oublier le fait que les combats auraient pu avoir lieu dans des environnements urbains (les soviétiques aux portes de l'Europe).
Donc l'arme a été vraiment conçu pour un combat en Europe et non pas pour être trimbalé dans le sable (ceux qui critiquent le FA-MAS pour sa sensibilité au sable, c'est comme critiquer une navette spatiale parce qu'elle peut pas aller sous l'eau, pas de la faute des ingénieurs si on utilise le même flingue au beau milieu du désert).
Plus de 9 ans de développement ont été nécessaire pour obtenir une arme qui peut réussir les tests sans problème. Plusieurs modèles ont vu le jour, et ce sera finalement le modèle F1 qui sera la première version définitive pour être livrée à nos chers soldats
D'un point de vue mécanique, l'arme fonctionne comme l'AA-52 français. En effet, le réarment s'effectue par un mécanisme de culasse à ouverture retardée par un levier amplificateur d'inertie. Pour illustrer cela de manière plus simple, c'est basiquement la même chose que le système sur ce dessin venu du TKB 517 :
Le principe est basique. Lorsque la munition est tirée, ce dernier exerce une pression contre la tête de la culasse. Ce dernier pour reculer va devoir actionner un levier qui possède un point d'appui contre l'arme et l'autre sur l'ensemble mobile. Donc il va y avoir un effet levier qui va retarder l'ouverture de la culasse
La culasse en cours d'ouverture :
Et alors que la culasse est en train de s'ouvrir, la balle sera déjà sortie du canon afin de ne pas gaspiller des gaz utilisés lors de la propulsion. Ingénieux, mais il fallait y penser
Malheureusement le système ne possède pas que des avantages. En effet, le système d'ouverture retardée s'ouvre lorsque la pression est toujours assez forte dans la chambre. De ce fait, la chambre est flutée avec des rainures pour réduire le contact entre la chambre et l'étui (pour pas que ça colle) mais cela n'empêche pas que l'usage de cartouches de mauvaises qualités ou en un mauvais alliage peut carrément déchirer l'étui et provoquer un enrayage. De plus, le système faisant ralentir la course de la culasse, on peut se permettre de faire une arme plus légère.
Un autre problème est que ce mécanisme est sensible aux variations de pression dans la chambre et dans le canon. Le système de verrouillage peut avoir des défauts sur certaines munitions, et le passage à des cartouches plus lourdes ne peut je pense, pas se faire uniquement par un changement de canon. En tout cas, il ne tire pas les munitions OTAN (rappel : la France n'est pas dans l'OTAN).
Un détail intéressant est le fait que les organes de visées sont directement reliés au canon de l'arme.
Cela accroit la précision, et fait que le mouvement du corps en plastique n'affecte en rien la précision. Mais il faut avouer que les organes de visées sont très loin d'être optimales sur cette arme, dont la ligne de mire entre la hausse et le guidon est vraiment court.
L'arme en elle même est fabriquée à partir de matériaux assez récent. Du fibre de verre pour les modèles F1 (qui sera par la suite remplacé par du polymère de haute résistance car beaucoup moins fragile).
Le fusil est d'ailleurs capable de tirer des grenades antichar ou antipersonnel avec l'usage de cartouches de lancement spéciaux, et en insérant une grenade par le canon. Des organes de visée spéciaux sont présents dans l'arme, et pour les tirer il est recommandé de diriger la fenêtre d'éjection vers le sol tout en tenant l'arme de manière horizontale (impossible de vous le montrer à travers le jeu).
L'arme a aussi la particularité d'être ambidextre en terme de pièces. En effet, même s'il n'est pas en pratique possible de changer de côté d'éjection en combat, il est possible par un simple inversement de l'extracteur (il y en a un qui est vrai et un qui est faux pour combler l'espace) de changer côté de l'éjection. Ainsi après avoir retiré la culasse, il suffit juste de retirer une goupille afin de faire sortir l'ensemble du mécanisme pour enfin inverser les deux pièces.
Le FA-MAS va aussi par la suite recevoir plusieurs évolutions. Commençant par le modèle G1, qui est une F1 avec des pièces en polymère plus résistant (remplaçant le fibre de verre plus fragile), la G2 va ensuite sortir, bien plus solide ainsi que mieux équipé pour résister à la corrosion grâce à des matériaux ou des traitements différents des pièces (voir même les deux). Le fusil est désormais calibré pour pouvoir chambrer des munitions de 5.56x45mm OTAN classique basé sur le SS109 (munition F5 sous la nomenclature française) mais toutes les améliorations ont un coût. Plus de 3000 euros unités, au lieu de 1500 euros. Pour comparaison, une M4 est vendue à seulement $634, incluant un viseur point rouge M68 CCO, des organes de visée de secours, et 2 chargeurs. Mais d'un autre côté la France paie une fortune pour ses baïonnette donc...
Ensuite viennent les modèles surbaissés, incluant le modèle valorisés et FÉLIN. Surbaissé est un terme pour désigner la base sur lequel repose les dernières versions du FA-MAS. Parmi ceux-là, il y a des modèles anciens (généralement F1) qui ont été remis à jour et peuvent utiliser des cartouches F5. On peut les distinguer des autres FA-MAS par l'usage d'un rail au profil assez bas remplaçant la poignée garde main classique. Le levier d'armement est dans presque tous les cas, plus astreint au mouvement de l'ensemble mobile (il ne bouge plus quand on tire) et est situé sur le côté. La différence la plus notable entre le modèle prévu pour recevoir le FÉLIN et celui qui est juste valorisé est l'absence de poignée verticale avant servant de socle de télécommande du FÉLIN. Le modèle valorisé ne possède qu'un garde-main lisse comme sur le F1 ou le G2. Quelques autres modifications sont apportées (bipied etc.).
Il faut aussi retenir que l'arme ne sera pas énormément exportée, car le gouvernement n'était pas totalement d'accord. Même si certaines commandes ont été passé, généralement la sélection des pays autorisées à recevoir l'arme ne sera que limité. Et finalement, après la sortie du Steyr AUG, beaucoup vont décider de tourner vers cette arme, ou tout simplement vers les aides des autres pays offrant soit des armes à un prix plus abordable, soit des armes de manière gratuite (pour rappel, c'était la guerre froide).
Le style d'écriture est aussi plus proche du style "18-25" plutôt que d'un style plus "pro" pour cette raison.
Donc le topic est en rapport avec le FA-MAS, l'une des armes voir même l'arme la plus iconique de l'armée française.
Le FA-MAS, c'est avant tout l'un des premiers bullpups dont la conception a été couronné d'un succès. C'est aussi l'un des premiers bullpups ayant connu une adoption massive au sein d'une armée mais c'est très loin d'être le premier bullpup, en effet ces derniers remontent jusqu'à presque 1901, où les britanniques ont testé de manière sérieuse les carabines Thorneycroft à répétition manuelle. Entre temps, il y a eu d'autres armes bullpup militaire, comme le Korovin 7.62 ou le TKB 408. Mais aucun n'a réussi à être adopté à grande échelle au sein d'une armée régulière.
L'armée française avait besoin d'une nouvelle arme pour remplacer leur MAT49 ainsi que leur MAS49/56. Ils avaient commencé le développement du FA-MAS Type 62, un fusil esthétiquement proche du FAL avec un mécanisme dérivé de ceux des fusils Tokarev.
Malheureusement il est apparu au moment où les doctrines étaient en train de changer. Au moment où les munitions classique de fusil comme la 7.62x51mm étaient en train d'être remplacé par du 5.56x45mm, jugé beaucoup plus efficace contre des cibles humaines mais aussi permettant d'avoir un gain de puissance de feu considérable. Un moment où le lancement des nouveaux chars AMX30 était prioritaire au remplacement des fusils et des mitraillettes qui équipaient les troupes françaises. Finalement, ce modèle 62 ne sera qu'une parenthèse. Il était concrètement peu judicieux de mettre en service cette arme car son apport en comparaison avec les MAS 49/56 était assez moyen. Sans oublier les études sur les munitions de 5.56x45mm basé sur une ogive de calibre .22 semblait avancer à grand pas, et démontrant sa supériorité au fil du temps
Il faut aussi rappeler que la France n'est plus dans l'OTAN depuis 1966 à cette période car de Gaulle était contre le système de commandement unifié. Ça sera important pour comprendre certains points dans l'histoire du FA-MAS (notamment avec les munitions).
Donc dans les années 60 commence le développement d'un nouveau fusil d'infanterie. Les chars AMX30 se portent bien, et il faut renouveler l'équipement français. À l'époque, il faut retenir que les tactiques étaient différentes. En effet, en pleine période de guerre froide où le bloc occidental était en lutte idéologique avec le bloc soviétique, il était nécessaire d'établir des stratégies. La France était en plein territoire continental avec l'URSS. Et ils n'écartaient pas le risque dune invasion soviétique. La tactique de l'époque reposait sur le principe de l'infanterie mécanisée
Infanterie quoi?
L'infanterie mécanisée est l'idée de combattre en utilisant la combinaison entre des véhicules blindés et des chars ainsi que des soldats. Et non, pas de nuke dans l'histoire
L'idée d'une guerre conventionnelle était la plus crédible à cause de la destruction mutuelle assurée. Mais c'est quoi le rapport avec le FA-MAS me diriez-vous?
Le FA-MAS a justement été développé dans cette optique.
Pour répondre à cette demande de défendre notre belle nation qui est la France. Un fusil bullpup permet grâce à son mécanisme situé directement dans la grosse, d'avoir une arme globalement plus courte sans sacrifier la longueur du canon qui reste la même que dans un fusil conventionnel.
Ainsi, les troupes montant dans les véhicules n'auront pas de problème d'encombrement et ne seront pas gêner par leur arme (car les américains eux, se trimbalaient leurs M16 dans leur M113). Sans oublier le fait que les combats auraient pu avoir lieu dans des environnements urbains (les soviétiques aux portes de l'Europe).
Donc l'arme a été vraiment conçu pour un combat en Europe et non pas pour être trimbalé dans le sable (ceux qui critiquent le FA-MAS pour sa sensibilité au sable, c'est comme critiquer une navette spatiale parce qu'elle peut pas aller sous l'eau, pas de la faute des ingénieurs si on utilise le même flingue au beau milieu du désert).
Plus de 9 ans de développement ont été nécessaire pour obtenir une arme qui peut réussir les tests sans problème. Plusieurs modèles ont vu le jour, et ce sera finalement le modèle F1 qui sera la première version définitive pour être livrée à nos chers soldats
D'un point de vue mécanique, l'arme fonctionne comme l'AA-52 français. En effet, le réarment s'effectue par un mécanisme de culasse à ouverture retardée par un levier amplificateur d'inertie. Pour illustrer cela de manière plus simple, c'est basiquement la même chose que le système sur ce dessin venu du TKB 517 :
Le principe est basique. Lorsque la munition est tirée, ce dernier exerce une pression contre la tête de la culasse. Ce dernier pour reculer va devoir actionner un levier qui possède un point d'appui contre l'arme et l'autre sur l'ensemble mobile. Donc il va y avoir un effet levier qui va retarder l'ouverture de la culasse
La culasse en cours d'ouverture :
Et alors que la culasse est en train de s'ouvrir, la balle sera déjà sortie du canon afin de ne pas gaspiller des gaz utilisés lors de la propulsion. Ingénieux, mais il fallait y penser
Malheureusement le système ne possède pas que des avantages. En effet, le système d'ouverture retardée s'ouvre lorsque la pression est toujours assez forte dans la chambre. De ce fait, la chambre est flutée avec des rainures pour réduire le contact entre la chambre et l'étui (pour pas que ça colle) mais cela n'empêche pas que l'usage de cartouches de mauvaises qualités ou en un mauvais alliage peut carrément déchirer l'étui et provoquer un enrayage. De plus, le système faisant ralentir la course de la culasse, on peut se permettre de faire une arme plus légère.
Un autre problème est que ce mécanisme est sensible aux variations de pression dans la chambre et dans le canon. Le système de verrouillage peut avoir des défauts sur certaines munitions, et le passage à des cartouches plus lourdes ne peut je pense, pas se faire uniquement par un changement de canon. En tout cas, il ne tire pas les munitions OTAN (rappel : la France n'est pas dans l'OTAN).
Un détail intéressant est le fait que les organes de visées sont directement reliés au canon de l'arme.
Cela accroit la précision, et fait que le mouvement du corps en plastique n'affecte en rien la précision. Mais il faut avouer que les organes de visées sont très loin d'être optimales sur cette arme, dont la ligne de mire entre la hausse et le guidon est vraiment court.
L'arme en elle même est fabriquée à partir de matériaux assez récent. Du fibre de verre pour les modèles F1 (qui sera par la suite remplacé par du polymère de haute résistance car beaucoup moins fragile).
Le fusil est d'ailleurs capable de tirer des grenades antichar ou antipersonnel avec l'usage de cartouches de lancement spéciaux, et en insérant une grenade par le canon. Des organes de visée spéciaux sont présents dans l'arme, et pour les tirer il est recommandé de diriger la fenêtre d'éjection vers le sol tout en tenant l'arme de manière horizontale (impossible de vous le montrer à travers le jeu).
L'arme a aussi la particularité d'être ambidextre en terme de pièces. En effet, même s'il n'est pas en pratique possible de changer de côté d'éjection en combat, il est possible par un simple inversement de l'extracteur (il y en a un qui est vrai et un qui est faux pour combler l'espace) de changer côté de l'éjection. Ainsi après avoir retiré la culasse, il suffit juste de retirer une goupille afin de faire sortir l'ensemble du mécanisme pour enfin inverser les deux pièces.
Le FA-MAS va aussi par la suite recevoir plusieurs évolutions. Commençant par le modèle G1, qui est une F1 avec des pièces en polymère plus résistant (remplaçant le fibre de verre plus fragile), la G2 va ensuite sortir, bien plus solide ainsi que mieux équipé pour résister à la corrosion grâce à des matériaux ou des traitements différents des pièces (voir même les deux). Le fusil est désormais calibré pour pouvoir chambrer des munitions de 5.56x45mm OTAN classique basé sur le SS109 (munition F5 sous la nomenclature française) mais toutes les améliorations ont un coût. Plus de 3000 euros unités, au lieu de 1500 euros. Pour comparaison, une M4 est vendue à seulement $634, incluant un viseur point rouge M68 CCO, des organes de visée de secours, et 2 chargeurs. Mais d'un autre côté la France paie une fortune pour ses baïonnette donc...
Ensuite viennent les modèles surbaissés, incluant le modèle valorisés et FÉLIN. Surbaissé est un terme pour désigner la base sur lequel repose les dernières versions du FA-MAS. Parmi ceux-là, il y a des modèles anciens (généralement F1) qui ont été remis à jour et peuvent utiliser des cartouches F5. On peut les distinguer des autres FA-MAS par l'usage d'un rail au profil assez bas remplaçant la poignée garde main classique. Le levier d'armement est dans presque tous les cas, plus astreint au mouvement de l'ensemble mobile (il ne bouge plus quand on tire) et est situé sur le côté. La différence la plus notable entre le modèle prévu pour recevoir le FÉLIN et celui qui est juste valorisé est l'absence de poignée verticale avant servant de socle de télécommande du FÉLIN. Le modèle valorisé ne possède qu'un garde-main lisse comme sur le F1 ou le G2. Quelques autres modifications sont apportées (bipied etc.).
Il faut aussi retenir que l'arme ne sera pas énormément exportée, car le gouvernement n'était pas totalement d'accord. Même si certaines commandes ont été passé, généralement la sélection des pays autorisées à recevoir l'arme ne sera que limité. Et finalement, après la sortie du Steyr AUG, beaucoup vont décider de tourner vers cette arme, ou tout simplement vers les aides des autres pays offrant soit des armes à un prix plus abordable, soit des armes de manière gratuite (pour rappel, c'était la guerre froide).
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